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Big Bang (Textes pour chansons)

  • ghislainhammer
  • 25 sept.
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 29 sept.



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Big Bang regroupe des textes pour chansons écrits entre 1996 et 2022 par Ghislain Hammer. Certaines paroles sont ici traduites en anglais.

Le recueil a pour thème principal l'amour dans tous ses états.


Si Ghislain Hammer est guitariste, il laisse l'interprétation de ses textes à diverses voix masculines et féminines.


Version française et anglaise



TROIS ALBUMS "THE OTHERS", "LEGACY" et "BIG BANG" (Abonnement Deezer)

Ecoutez des extraits ci-dessous uniquement depuis un ordinateur.


--- En vente sur Amazon





ASIN ‏ : ‎ B0FF1D2HNQ

Éditeur ‏ : ‎ Independently published

Date de publication ‏ : ‎ 20 juin 2025

Langue ‏ : ‎ Français

Nombre de pages de l'édition imprimée  ‏ : ‎ 96 pages

ISBN-13 ‏ : ‎ 979-8288939648

Poids de l'article ‏ : ‎ 299 g

Dimensions ‏ : ‎ 21.55 x 1.04 x 28.54 cm






MÊME PAS MAL

 

  

J’ai compris que l’amour n’était

Pas à saisir à la légère,

Pour autant relativisons

Car l’amour n’a rien d’ordinaire.

Mais malgré sa complexité

Depuis la semaine dernière,

De ma nouvelle relation

Je vis une révolution. 

 

Sept jours d’amour,

C’est un record qui me surprend ;

Même pas mal,

Je l’aime encor’ toujours autant.

 

Si j’oublie toujours son prénom,

Marie, Julie, Lola, Manon…

Son corps entier brille, une étoile,

Sur mon canapé de velours. 

 

J’ai compris, maman, tout à fait,

Sans le péril des élégantes,

L’homme, même aux fruits d’Apollon,

N’aurait les choses si brûlantes ;

Mais ce coup-ci j’ai cogité,

Depuis hier ses yeux me tentent,

Je perds peut-être la raison,

Quitte à mourir un peu plus con.

 

Sept jours d’amour,

C’est un record qui me surprend ;

Même pas mal,

Je l’aime encor’ toujours autant.

 

Si j’oublie toujours son prénom,

Marie, Julie, Lola, Manon…

Son corps entier brille, une étoile,

Sur mon canapé de velours.

 

J’ai compris que d’l’amour, jamais

L’homme ne manie les commandes ;

Et quand il parle de passion,

C’est impulsivement qu'il bande.

Je ne dis pas que j’ai la clé,

Mais cette fois j’en redemande,

Pour preuve mon cœur dans l’action,

A fait une brève apparition ! 

 

Sept jours d’amour,

C’est un record qui me surprend ;

Même pas mal,

Je l’aime encor’ toujours autant.

 

Si j’oublie toujours son prénom,

Marie, Julie, Lola, Manon…

Son corps entier brille, une étoile,

Sur mon canapé de velours.

 

Sept jours d’amour,

C’est un record qui me surprend ;

Même pas mal,

Je l’aime encor’ toujours autant.

Si j’oublie toujours son prénom,

Marie, Julie, Lola, Manon…

Son corps entier brille, une étoile,

Sur mon canapé de velours.

 



LE MARI DE GUERRE 


 

Si j’eus été vivant

En période naguère,

Un bel adolescent

Au sortir de la guerre,

 

J’aurais assurément

Accédé à la veuve,

Dont le mari, galant,

Ne revint de l’épreuve. 

 

Ah le mari, mari,

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère ! 

 

Loin que m’eut plu sa mort

Pas le moindre, mon père,

Moi j’aurais de mon corps

Eus été volontaire 

 

Pour un peu d’réconfort,

Et repeupler la France

Qui d’manda un effort

Colossal et intense. 

 

Ah le mari, mari,

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère ! 

 

J’aurais pris dans les bras

De la veuve en plein drame

La place sous les draps  

De l’époux de Madame, 

 

Et séché ses yeux froids,

Eloignés comme au bagne,

Pratiquant des combats

Où la vie seule gagne. 

 

Ah le mari, mari,

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère !

 

Mais avant, très chers Dieux,

De ranimer la femme,

J’aurais pris dans ses yeux

L’assurance que l’âme,

 

Que l’âme du Monsieur

Eut bien été tranchée,

Que la voie vers son pieux

Fusse bien libérée. 

 

Ah le mari , mari

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère ! 

 

Malgré tout le respect

Devant son sacrifice,

Qu’il reposa en paix

Sous les plus beaux offices,

 

Tranquillement, j’aurais

Pris soin de sa plaintive

Qui aurait trop pleuré

En faisant la lessive. 

 

Ah le mari, mari,

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère ! 

 

Plus d’homme à la maison

Pour tenir l’édifice,

Passé les oraisons,

Le marbre qui coulisse,

 

Moi, j’aurais, de raison,

Et la force de l’âge,

Soutenant la nation,

Aidé au labourage.

 

Ah le mari, mari,

Mari de guerre

Mort au champ d’honneur a

Tué l’adultère !

 


BRAVE GASTON 

 

Le brav’ monsieur Gaston

Il était ordinaire

À la seule exception

Qu’un jour il épousa

La Madame adultère

Qu’était belle’ mais primaire

Du village d’en bas.

 

Bien sûr ça fait sourire,

Lui ça l’a fait pleurer,

Ça l’a mêm’ fait mourir

Au moment de Noël,

C’était d'vant sa télé

Ou d’ailleurs il passait

Un film de Fernandel,

Un film de Fernandel.

 

Le brav’ Monsieur Gaston,

C’était un homme austère,

Mais il n’était pas con,

Juste un peu trop naïf,

Il était un peu fier

De son joli salaire

Qu’était en or massif.

 

Bien sûr ça fait plaisir

Un salair’ d’président,

Lui ça l’a fait mourir,

Mais elle pas du tout,

Pour son enterrement

L’a couvert de diamants

Et bien d’autres bijoux,

Et bien d’autres bijoux. 

 

Le brav’ Monsieur Gaston

Avait de bell’ manières,

Des idées à foison

Pour animer sa vie.

Il faisait tout pour plaire

À Madame adultère

Qui partait dans la nuit.

 

Bien sûr ça fait plaisir

D’rendre heureuse son aimée,

Lui ça l’a fait mourir

Petit à petit feu,

Il avait trop aimer

Sans jamais soupçonner

Qu’à la fin l’double jeu,

Qu’à la fin l’double jeu.

 

Le brav’ Monsieur Gaston

Soudain’ment suicidaire

Jusqu’à s’péter les plombs

En s’pétant tous les soirs

Au bistrot des Grands-pères

Et terminer par terre

Comme un vieux paillasson.

 

Sûr ça fait réfléchir

Quelques doses de whisky,

Lui ça l’a fait mourir

Au moment de Noël,

C’était d’vant sa télé

Ou d’ailleurs il passait

Un film de Fernandel,

Un film de Fernandel.

 

 

 
 
 

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